« Anne de Kiev, reine de France », une clef pour comprendre les racines de la guerre en Ukraine

Mon livre : « ANNE DE KIEV, REINE DE FRANCE », une clef pour comprendre les racines profondes de la guerre en Ukraine aujourd’hui.

À une époque lointaine, n’existaient ni la France ni la Russie. La capitale du royaume des Francs était Lutèce, qui deviendra Paris. La capitale de la Russ était Kiev, la deuxième ville du monde pour ses richesses et ses beautés.

La capitale sera ensuite déplacée à Moscou, et plus tard, à Saint-Pétesbourg qui naquit au milieu des marais par la seule volonté de Pierre-Le-Grand, ce qui rend déjà l’histoire très complexe

En France régnait un roi, plus très jeune et très malheureux, sans descendance ne pouvant épouser aucune princesse des royaumes voisins, il serait tombé sous le coup d’une excommunication, en raison des liens de parenté qui unissaient les familles régnantes. L’excommunication aurait frappé son peuple avec lui, plus de sacrements, plus de baptêmes et plus de funérailles religieuses.

Restait une princesse que le roi Henri pouvait épouser, si lointaine que les sangs royaux des deux familles ne s’étaient pas mélangés.

C’était Anne de Kiev, la plus belle et la plus accomplie des princesses de la terre, qui ne voulait pas se marier, surtout pas avec un vieux roi au royaume étriqué, ruiné par des guerres et des famines.

Dans « Anne de Kiev, reine de France », j’ai raconté le mariage du roi et de la princesse des neiges grâce à qui les prétendant actuels à la couronne de France, leurs lointains descendants, ont dans leurs veines du sang Viking.

À sa parution, mon livre a intéressé le cinéma.

Yves Angelo avait donné son accord pour faire le film et Christian Lacroix, les costumes. On avait tourné la bande annonce.

Le film ne s’est pas fait.

Récemment, il a été question d’une série du Netflix. Je vous laisse à penser ce qu’elle peut devenir sous les bombes.

Une réflexion sur “« Anne de Kiev, reine de France », une clef pour comprendre les racines de la guerre en Ukraine

  1. L`art de la nouvelle n`est pas facile, mais Jacqueline Dauxois vient de démontrer sa maîtrise de ce genre dans Nouvelles d`un monde cruel. Chacune de ces nouvelles littéraires soigneusement écrites se concentre sur la réponse d`un seul individu (le narrateur ou un autre) à une expérience universelle. Écrivaine imaginative d`une quarantaine d`œuvres variés, elle sait bien nous conduire vite dans les nouveaux aventures–physiques et mentales—des personnages divers. À la surface, on peut voir chaque nouvelle comme un jeu littéraire unique. Ce qui unit la collection c`est leur profondeur sombre. Chaque nouvelle explore une confrontation avec le Mal—soit à cause d`un individu cruel, soit à cause d`une cruauté de la condition humaine comme la solitude ou la mort qui vient.

    Les histoires les plus douloureuses–celles où la victime (une femme ou un enfant) n`a pas d`agence et pas d`espoir—se présentent en formes littéraires différentes : une conte anti-chevaleresque, une nouvelle épistolaire de la première guerre mondiale, un monologue en argot contemporain, une scène réaliste de thriller, et celle ou nous prenons la perspective d`un voyeur, ce qui peut nous faire questionner notre fascination avec les cruautés.

    Les autres nouvelles où les personnages trouvent un peu d`agence dans leur situation reflètent une façon de survivre les cruautés ou de vivre pleinement en face de la mort qu`on prévoit. Il y a un conte imaginatif quasiment pour les enfants qui fera réfléchir les adultes. Certaines des nouvelles bénéficient de l`humour cynique de l`auteur, surtout dans l`offre de trois conclusions possibles, dans un chat diaboliquement jaloux, et dans un crayon qui partage un vol de liberté pendant la pandémie. Les deux nouvelles qui encadrent la collection (Trahison et Crucifix ou la plume de l`ange) dépassent toutes les autres nouvelles en profondeur d`émotion–la haine et le désespoir. Heureusement, ce sont aussi les deux nouvelles qui nous offrent clairement de l`espoir.

    Comme je voudrais faire lire ces nouvelles à une classe d`étudiants pour les introduire à l`esprit vif, profond, et ironiquement agréable de Jacqueline Dauxois!

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