Roberto Alagna dans Carmen à l’Opéra-Bastille, 16 juillet 2017, suite

En 2017, Roberto Alagna a interprété Carmen à Paris pour la première fois de sa carrière dans une production de Calixto Bieito qu’il chantait dix-huit ans plus tôt au festival de Perelada avec Béatrice Uria-Monzon. Le 16 juillet 2017, pour une seule soirée, Elina Garanča a chanté à Paris avec lui. Retour sur ce spectacle événement.Ci-dessus « La Fleur que tu m’avais jetée… »

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Roberto Alagna Le Dernier jour d’un condamné Marseille 2017

Roberto Alagna dans Le Dernier Jour d’un condamné à Marseille

Première partie

Pré-Génétale le 22 septembre. Générale le 24. Trois représentations : les 28 septembre, 1er et 4 octobre 2017.

Au Grand Théâtre

L’Opéra de Marseille, on l’appelait jadis le Grand Théâtre. Lorsque Georges Thill y chantait, les spectateurs l’attendaient en foule à la sortie, les hommes dételaient ses chevaux et prenaient leur place entre les brancards pour le reconduire. Lire la suite

Roberto Alagna dans Adrienne Lecouvreur, la création d’un opéra : les répétitions à Monte-Carlo, novembre 2017

En novembre 2017, l’Opéra de Monte-Carlo donne Adriana Lecouvreur, de Francesco Cilea. Neuf répétitions, du lundi 6 au jeudi 16, et trois représentations. Pour la Première, le dimanche 19, jour de la Fête nationale monégasque, impossible d’entrer sans invitation du Palais et interdiction d’assister au spectacle en coulisses, le Prince sera dans la salle, alerte maximum pour le service d’ordre. Les deux autres représentations sont publiques, le jeudi 23, en soirée, et le dimanche 26, l’après-midi.

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Roberto Alagna dans Turandot au Royal Opera House de Londres, juillet 2017

 

 

ROBERTO ALAGNA DANS TURANDOT AU ROYAL OPERA HOUSE DE LONDRES

 

Roberto Alagna d’une Turandot à l’autre

 

 

D’une Turandot à l’autre, d’Orange, en août 2012, au Royal Opera House de Londres, en juin 2017, Roberto Alagna donne une illustration idéale des exigences de Giacomo Puccini. Au niveau vocal, le ténor est sans arrêt au sommet ; au niveau dramatique, il démontre dans la déjà classique production de 1984 d’Andrei Serban qu’il s’approche encore de cette humanité que réclamait le compositeur.

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